« Les salauds de tous les partis ont sans doute crié victoire quand en 1982 ils ont vu François Maspero renoncer à son métier d’éditeur. Mais ils se sont réjouis trop vite : ils avaient oublié l’auteur...
L’inquiétude qui est l’antichambre de l’espérance. Cette inquiétude qui ne cessera d’animer pour notre bonheur, François Maspero... En couverture de son premier livre Le sourire du chat où se lisent les blessures qui l’ont façonné, Maspero glisse cette confidence longtemps retenue : “J’ai peiné à retrouver le sens du mot liberté”. J’invite à le lire tout simplement parce que ce mot, il nous l’a appris. »
Edwy Plenel. Préface à L’honneur de Saint-Arnaud