Le vrai Dico :
Tabou
Interdit de nature religieuse, morale ou sociale.
En politique, son absence est invoquée non pour libérer le citoyen de quelque emprise, mais pour lui faire accepter une régression morale et/ou sociale, ou lui imposer sournoisement une contrainte plus forte.
« Il n’y a pas de tabou sur le non renouvel-lement des postes dans la fonction publique. »
« La vente d’armes à la Libye – de Kadhafi – n’est pas un tabou »
( porte-parole du gouvernement Fillon en 2007 et 2008 ).
on nous avait promis :
La Hi-Fi dans chaque pièce
Principe : La distribution d’un même programme musical de qualité dans les différentes pièces de la maison, pour tous (la cuisine, chacun dans sa chambre...) depuis une source unique placée dans un endroit stratégique (le salon avec sa pile de disques).
Réalité : Baladeur individuel avec écouteurs enfermant l’auditeur dans son monde Détails savoureux : tue les oreilles et rend sourd aux autres.
La liste sur le frigo
des noms au bout de la langue
arawak (plusieurs centaines)
kali’na (moins de 4000)
palikur (entre 700 et 1000)
teko (env. 450)
wayana (env. 1800)
wayampi (950)
Le Saint de la semaine
Charles de Gaule
Personnage ( 1890-1970) historique et messianique, tellement persuadé que son destin était de sauver la France qu’il y réussit à deux reprises... avec des bonheurs divers. Ce saint a
l’originalité d’être fêté deux fois : le Charles de Gaulle du 18 juin, exilé quelque peu don quichottesque de juin 1940, opposé au coup d’état politico-militaire qui amena Pétain au pouvoir, réussit à inspirer et à fédérer le résistance à l’occupation nazie. Accédant au pouvoir à la Libération, il jeta les bases de ce qu’on a appelé le «modèle social français».
Le Charles de Gaulle du 13 mai, ramené au pouvoir par un complot politico-militaire, enferma l’Etat dans un régime conservateur, autocratique et paternaliste, jetant les bases de la destruction de ce qu’on appelle encore malgré tout le «modèle social français». On l’invoque quand le pays traverse une crise, c’est- à-dire tout le temps, la crise étant l’état naturel de la société.
Réponse :